
Zone des Terres-Rousses : le second cabinet de SOS 21 ouvrira le 15 mars
Par la rédaction, le
La date est désormais confirmée. Le second cabinet de SOS 21 ouvrira le 15 mars au sein de la zone des Terres-Rousses à Chevigny-Saint-Sauveur. Une initiative qui a pour but de satisfaire les patients de l’est dijonnais.
Vendredi 7 mars, SOS 21, structure d’urgence médicale dont le siège est à Chenôve, inaugurait un second cabinet de consultations, au 10, rue Nicolas-Condorcet à Chevigny-Saint-Sauveur (derrière La Pièce unique). Situé au rez-de-chaussée, le local de 70 mètres carrés comprenant deux cabinets et une salle d’attente était bien rempli à l’occasion de cette inauguration, avant l’ouverture le 15 mars. Le maire (LR) Guillaume Ruet, entouré d’une grande partie de son conseil municipal, avait fait le déplacement, ainsi que des médecins et des pharmaciens des communes avoisinantes.
« Nous commencions à être saturés »
Le docteur Cyrille Chapuis, qui copréside SOS 21 avec Raymond Gauyacq qui, lui, a créé l’association en 1991, a expliqué le choix de s’installer à Chevigny-Saint-Sauveur : « Nous avons beaucoup de patients qui viennent de l’est dijonnais à Chenôve, et nous commencions à être saturés. Notre objectif étant de satisfaire les patients, nous avons lancé une réflexion pour ouvrir ce cabinet qui va nous permettre d’améliorer le service pour les personnes du secteur, et ce, jusqu’à Genlis. Il était primordial pour nous de maintenir l’humain au cœur du projet en complétant l’offre de service sans changer notre mode de fonctionnement, mais en l’améliorant pour le bien des patients. »
Un seul numéro d’appel
Huit standardistes vont gérer les deux cabinets et quatorze médecins forment l’équipe médicale ; pour le cabinet de Chevigny-Saint-Sauveur, les consultations se feront en journée, de 8 à 20 heures. « Le rôle des standardistes est important, car il y aura un seul numéro d’appel pour les deux sites », précise Raymond Gauyacq.
Qui poursuit : « Nous sommes fiers de cette ouverture dans des locaux fonctionnels. L’investissement représente 60 000 € au final. Je suis fier également de compter dans l’équipe de médecins des jeunes qui étaient internes chez nous pendant leurs études. »
Pour Guillaume Ruet, « c’est une très bonne nouvelle pour notre ville, mais aussi pour tout l’est dijonnais ; la demande était très forte et souvent après 20 heures ».
Source : Le Bien Public >> Accueil >> Santé >> 11/03/2025 par Dominique Da Silva
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